.Une semaine avant sa mort, il dit :
« J’ai un Sauveur ! Il m’a sauvé gratuitement par son sang répandu, et je veux que l’on sache que je m’appuie uniquement sur ce sang versé. Toutes mes justices, toutes mes œuvres qui ont été louées, toutes mes prédications qui ont été appréciées et recherchées, tout cela n’est à mes yeux que comme un linge souillé. »